Jusqu'en 1997, je faisais mon métier sans Internet. C'est donc possible de s'en passer pour faire ce que je fais, qui implique que l'on suive l'actualité des pays anglo-saxons de près. Maintenant encore, je suis abonné à l'édition papier de plusieurs hebdos.
Mais Internet a rendu l'accès à la presse étrangère instantané. Tous les matins, je parcoure les éditos du Times, du Guardian, du New York Times et d'autres journaux moins connus (je ne suis plus confiné aux hebdos). Dans la matinée encore, je reçois par e-mail les sommaires du Washington Post et d'autres journaux. C'est précieux, cela a changé ma façon de travailler.
Pour le reste, l'essentiel de web, pour moi, c'est ma banque et Femme-à-Cheval.com, qui me fournit la majeure partie de mes DVD (j'ai pas fait de pub, là, dites?)
Le spam a un peu gâché le plaisir de l'e-mail...
Bill C.