James Brown

James Brown est né le 03 mai 1928....

Il nous a quitté ce funeste jour de Noël 2006, laissant derrière lui une fortune colossale générée par ses royalties se chiffrant en dizaines de millions de dollars. Et tandis que les héritiers officiels du Parrain de la Soul se disputent l’héritage, les ex-maîtresses et les (nombreux) enfants nés dans l’adultère se manifestent. En réclamant leur part du gâteau, ils éclairent aujourd’hui la vie sexuelle de James sous un putain de projecteur, révélant- on s’en doutait mais à ce point là !- toute la vigueur de la sex machine du Sex Machine.



Tour à tour Godfather of Soul (Parrain de la soul), Soul Brother number one (Frère en Soul numéro Un), Minister of the brand new super heavy funk (pasteur de la nouveau funk super poids lourd), Mister Dynamite ou tout simplement Jaaaaames, en trente années et plus de carrière, et tant et tant de hits atomiques, Mister Brown a si souvent régné sur la planète rythme.

Et si l’on pouvait se douter de l’extraordinaire pouvoir de séduction de la soul légende, on n’en mesurait pas toujours…la démesure !

Car si James avait bien pris soin de rédiger son testament en faveur de six enfants adultes issus de deux mariages différents ainsi que de deux autres liaisons officieuses, il laisse derrière lui une progéniture carrément plus conséquente. Le chanteur aurait eu en TOUT 14 enfants – pour certains les tests ADN sont encore en cours-, 16 petits-enfants, 8 femmes et ex-maîtresses officielles, sans oublier ses 30 avocats et une foule de collaborateurs divers. Et bien entendu, tous les oubliés sont prêts à aller défendre leurs droits en justice.

Désormais tous ces légataires se disputent le pactole de James : son immense propriété de Beach Island, en Caroline du Sud et surtout le catalogue en or massif des 800 titres de James Brown.

Car il ne faut pas oublier qu’en affaires, notre idole vivante était aussi hélas un héros impitoyable.

Il a signé et produit seul la quasi totalité de ses chansons, et si les membres des JB’s, son groupe, assuraient la majorité des arrangements, il n’en ont jamais tiré aucun crédit. Pire, le Boss les mettait carrément à l‘amende, sabrant leurs cachets, s’ils arrivaient en retard à une simple répétition !

Avec tous les procès en cours, aucun des héritiers n’a pu à ce jour palper le moindre dollar. Mais si l’on considère qu’Elvis est mort depuis trente ans et qu’il continue chaque année à générer en droits divers quelques millions de dollars, le potentiel du catalogue de James est énorme : pour les gagnants du jackpot c’est une rente à vie de millionnaire. Mais les héritiers ne se contentent pas d’attaquer le testament pour le casser : ils s’attaquent aussi entre eux et tous ces procès croisés risquent de s’éterniser
Mais les révélations les plus hot sur le chanteur de Sex Machine sont dans le numéro d’Avril du magazine GQ, version USA. On y apprend, entre autres, que James aurait subi une vasectomie en 1984, sans doute échaudé par les nombreuses demandes de paternité de ses conquêtes successives.

Surtout, si l’on pouvait se douter qu‘en tournant plus de 40 semaines par an tout autour du monde, la superstar devait multiplier les rencontres et donc forcément les conquêtes, on découvre qu’il ne se contentait pas d’être une bête de scène :

« James Brown ne faisait jamais l’amour, il baisait », explique un proche du chanteur, « Il ne connaissait pas la douceur. D’ailleurs la plupart du temps, un de ses gars s’occupait de tous les préliminaires. C’était à lui de tchatcher avec la fille, de lui offrir un verre en la charmant. Souvent le type devait même flirter avec elle pour la chauffer. Et, à ce moment là, James débarquait en demandant « Alors elle est prête ? J’ai pas de temps à perdre, assure-toi qu’elle soit prête. » Et il lui tombait dessus direct, dans la position du missionnaire sans plus se compliquer la vie.

Un jour, il a demandé à un de ses potes blancs « Pourquoi les blancs s’embarrassent-ils à brouter la foune d’une femme ? Quel plaisir peut on trouver là-dedans ».

A l’age de 60 ans en regardant la chaîne Playboy il aurait découvert qu’on peut prendre une femme par derrière et estomaqué aurait téléphoné à trois heures du matin à un pote pour lui faire part de sa découverte. Et l’autre a dû faire semblant d’être surpris car on ne pouvait pas découvrir un truc avant James Brown, c’était impensable. »

Pour une ex petite amie, Gloria Daniel, c’est l’abus des drogues qui rendaient fou James exacerbant gravement sa parano.

D’abord le PCP puis la coke qu’il fumait mélangée au tabac des cigarettes Kool qu’il fumait sans cesse. Ses petites amies devaient être nues pour lui rouler ses joints, c’était semble-t-il la règle pour notre Soul Brother Number One qui trouvait cela particulièrement excitant.

Mais hélas la dope, le diabète et un cancer de la prostate vont mettre un terme à la fringale de sexe du Sex Machine. Une nuit de 2001, raconte Gloria Daniel, James l’avait tartinée de Vaseline comme il aimait tant, mais malgré ses efforts il ne parvenait plus à jouir, il a alors mis un pantalon de pyjama, endossé un manteau de vison, un chapeau et des bottes de cow-boy. S’emparant d’un fusil à pompe, il aurait lancé « Ce soir, je suis un chef Indien » avant de décoller de son garage au volant de sa Rolls en direction d’Augusta, sa ville natale, où il s’est mis à tirer sur des boîtes aux lettres en zigzaguant sur la route jusqu’à ce que les flics l’arrêtent.

La drogue, c’est sûr devait sacrément lui secouer les neurones !

Bien au-delà du blé, de la dope, du sexe, de la folie, c’est de son génie sur scène et sur disque dont il vaut mieux se souvenir.
(Source: Hitmusemag)

Kassy a écrit:

TipTop a écrit:

James Brown est né le 03 mai 1928....

Bien au-delà du blé, de la dope, du sexe, de la folie, c’est de son génie sur scène et sur disque dont il vaut mieux se souvenir.

Bin dis donc, c'est carrément tristounet pour les filles, le sexe vue par Mossieu James...

Tu as raison, mais cela semblait (étrangement) aussi leurs convenir non