L'échange de paire à paire a sa place dans notre économie...
L'échange c'est le partage (troc) d'une expérience ou de plusieurs et faire l'essai de ce qui est payant. Les éditeurs de logiciels permettent un essai qui est souvent trop court pour en apprécier l'utilité. Du coup, télécharger une version non bridée permet dans définir ses contours de l'essayer. Si nous en sommes satisfaits, alors oui, l'achat de la licence devient obligatoire pour que nous puissions bénéficier des mises à jour et des versions toujours plus puissante.
Pour les oeuvres musicales, vidéo, photographique, les artistes méritent une protection de leur art mais ils doivent accepter également le partage pour que tous puissent apprécier leur talent et participer à leur promotion. il faut donc déclarer auprès des auteurs, l'utilisation du produit utilisé, dans le contexte utilisé et normalement le partage est accepté.
Ce qui agaçant dans l'échange, c'est qu'il n'y a en France que des consommateurs et trop peut de personne étant réellement propriétaire de l'offre. Du coup la protection doit être réglementé.
Il y a quelques années, je me suis vu détourné une oeuvre par un imprimeur du côté de Saintes par qui j'étais passé pour imprimer une plaquette commerciale. Une oeuvre exclusive pour un client. Quelques temps plus tard je vois une plaquette similaire avec mes mots, mes dessins, ma mise en page pour le compte d'une personne différente que mon client... imaginez-vous des dégâts que cela produit sur le plan exclusif... de plus le copyright avait été effacé, les droits photographes également, etc... etc... je m'en étais pris plein la figure.
Au Pays-Bas, les gens sont respectueux des uns des autres, le partage est naturel. Ici, en France, l'individualisme est force de loi (Système D), du coup le partage est tronqué d'où une législation plus forte. Chacun a un niveau de tolérance envers autrui qui lui est propre, selon les limites de l'autre, il y acceptation ou non de l'abus. Malheureusement, les gens ne savent pas s'arrêter et passent au-delà des limites.